Plus de sécurité
Paru dans le journal d’informations municipales d’Argelliers, en décembre 2009, à la rubrique « vie communale », sous le titre :
Mais ce n’est pas un sport anodin. Le danger pour les chasseurs ne doit pas être mésestimé. Le gabarit des animaux, certes, entre en compte, mais aussi les autres chasseurs : faute de voir clairement et de savoir où se trouvent les autres, il arrive qu’une balle perdue ne le soit pas pour tout le monde. Les tiers ne sont pas à l’abri non plus. Si la réglementation impose des dates d’ouverture et de clôture de la chasse, elle ne peut conduire les habitants de nos communes à éviter toute activité à l’extérieur pendant cette période !
D’une part, l’éclaircissement de taillis et de bosquets où se déroulent les battues : le chemin du Patuet sur 0,5 km, 1,7 km sur la limite de la Terre Basse avec le Pigeonnier ainsi que le Bois Noir avec Vailhauquès et 0,9 km sur la carrière de Mas de Cournon, soit 3,1 km, a été pris en charge par la Mairie d’Argelliers. De son côté, la Diane finance également : 1,6 km sur le Chemin Vieux de Puéchabon, la limite Argelliers/Puéchabon/Boscorre du Haut, le côté droit de la route de Puéchabon sur 1,5 km et le Rancas (0,35 km), Pié de Loup, ancienne coupe de bois communale d’Argelliers de 1,2 km, le Bois Noir, le coupe-feu du Planas au lac de Guizard à la limite du Pigeonnier (0,5 km), soit 5,65 km. Au total, 8,7 km de débroussaillage sont réalisés.
D’autre part, afin de renforcer la sécurité, 20 miradors standards, homologués, sont achetés et mis en place par la Diane des Hauts de Boscorre : ils permettront de guetter le gibier et de le traquer sans péril pour la vie d’autrui.
Ghislaine PEQUIGNOT.